[1] Angélique de Verneuil était fille naturelle d’Henri IV et d’Henriette d’Entragues, marquise de Verneuil.
[2] On appelait ainsi le vin de Bordeaux.
[3] On appelait ainsi le déjeuner de midi.
[4] Célèbre architecte de l’époque.
[5] Soixante ans plus tard, ce château fut rasé pour faire place à celui qui existe actuellement et dont Mansart établit les plans.
[6] Beaucoup plus petite que la Cour Carrée actuelle.
[7] C’est Henri IV qui fit venir de Flandres deux experts en tapisseries, François de la Planche et Marc de Comans, qu’il installa dans une maison appartenant à la riche famille Gobelins.
[8] Les armoires à vêtements n’existaient pas encore.
[9] Le boulevard du Palais l’a absorbée.
[10] Authentique.
[11] C’est le palais du Luxembourg, siège actuel du Sénat.
[12] Résidence actuelle du président du Sénat.
[13] Fille d’Henri IV et de Marie de Médicis.
[14] Il pourrait s’agir d’une légende lancée par les Anglais pour discréditer la noblesse française. En réalité, il n’aurait perdu qu’un seul diamant qui lui fut scrupuleusement rapporté.
[15] On francisait alors ainsi le nom de l’Anglais. L’appellation est restée un temps à la bombe de chasse en velours noir dont il avait lancé la mode lors de son séjour à Paris.
[16] C’était le surnom d’amitié qu’elle lui donnait.
[17] Parmi lesquels Henri IV, Il se rendait chez elle quand Ravaillac avait frappé.
[18] Elle était la fille de Mme de Montglat qui avait été la gouvernante des enfants d’Henri IV.
[19] Quais le long de l’Arno.
[20] La toise, ancienne mesure française de longueur, équivalait 1,949 mètres.
[21] La monte en amazone, inventée par Catherine de Médicis, ne supportait pas une abondance de jupons.
[22] Voir le tome 1 de Secret d’Etat : La Chambre de la Reine.
[23] C’est aujourd’hui le jardin Anglais.
[24] Equivalent au grade de colonel.
[25] Feu le prince de Conti percevait des revenus de l’antique abbaye.
[26] Il ne reste presque rien de l’appareil féodal primitif.
[27] Voir le tome 1 de Secret d’Etat : La Chambre de la Reine.
[28] Le Maréchal devait mourir l’année suivante à Auray.
[29] La Louvière, Bois d’Annemets, Puylaurens et quelques autres.
[30] Louis Vaunois, Vie de Louis XIII.
[31] Le Maréchal mourut dans sa prison le 2 septembre suivant… d’une rétention d’urine, mais on parla d’empoisonnement. Le Grand Prieur eut le même sort quelques mois plus tard, César fut banni.
[32] L’exil ne signifiait pas fatalement le passage des frontières. Le plus souvent le coupable était confiné sur ses terres.